Romain Kronenberg

Après deux années passées à la Faculté de théologie protestante de Genève, Romain Kronenberg étudie la théorie musicale, le Jazz et la composition électro- acoustique au Conservatoire Supérieur de musique de Genève. Entre 2001 à 2005 à l’IRCAM où il est compositeur et sound designer, il collabore avec des plasticiens tels que Ugo Rondinone, Pierre Huyghe, Melik Ohanian et Thierry Kuntzel qui l’ouvrent à la vidéo, l’installation, la sculpture et la photographie. Entre 2007 et 2010, Romain est artiste en résidence au Pavillon du Palais de Tokyo, puis à la Villa Kujoyama. En 2012, il entame un travail d’écriture cinématographique et réalise plusieurs courts métrages qu’il projette notamment au Mk2 Beaubourg, au Mk2 Grand Palais, au Festival Int. du Film d’Ankara, au Festival Int. du film de Rotterdam, aux Rencontres Int. Paris/Berlin, au Seoul Art Center, au Hong Kong Art Center, à Loop Barcelone, au Silencio, à la Gaité Lyrique, au Centre Pompidou, au Collège des Bernardins ou à la Femis. En 2018, il réalise Rien ne s’oppose au jour, qui est en compétition au festival Côté Court de Pantin et y reçoit le prix SACEM pour la meilleure musique originale.

Marcher puis disparaître, 2013 (45 min)

Eté perpétuel, 2015 (40 min)

Rien que de la terre, et de plus en plus sèche, 2016 (16 min)

Jusqu’aux régions qui gisent au-delà de la mer, 2017 (15 min)

La forme de son corps avec l’excès de sable, 2017 (20 min)

Rien ne s’oppose au jour, 2018 (18 min)